Révolution anti-corruption : le Président burkinabè frappe Fort!

Le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président de la Transition, annonce une traque impitoyable contre la corruption et l’absentéisme, lançant ainsi une nouvelle ère pour le Burkina Faso.
Dans un discours enflammé devant le personnel de la Présidence du Faso, le Chef de l’État a déclaré la guerre à la corruption et à la lenteur administrative, pointant du doigt les failles persistantes qui entravent les progrès du gouvernement. « La lutte contre le terrorisme avance, mais il est temps d’affronter les véritables ennemis internes : la corruption et le laxisme administratif », a martelé le Capitaine Ibrahim TRAORE.
Dénonçant vigoureusement les pratiques corrompues, le Président a souligné sa détermination à mettre fin aux connexions douteuses entre les cabinets externes et les acteurs de l’administration publique. « C’est du vol, c’est de la triche, et nous allons éradiquer ces pratiques », a-t-il fustigé.
Le Chef de l’État a également révélé sa volonté de réformer en profondeur, appelant à l’activation des conseils de discipline pour sanctionner sévèrement les agents indélicats, même en envisageant des licenciements. Cette annonce marque un tournant radical dans la gestion des ressources humaines au sein de l’administration.
En parallèle, le Président TRAORE a dévoilé d’ambitieux projets dans le domaine de l’agriculture, avec une offensive agro-pastorale et halieutique visant à garantir la sécurité alimentaire. Ces initiatives s’inscrivent dans la vision de la Transition, axée sur le développement endogène et la défense des plus démunis.
Ainsi, le Burkina Faso se prépare à une révolution anti-corruption, marquée par la fermeté du Président de la Transition. Une nouvelle ère s’ouvre, plaçant le pays sur la voie d’une gouvernance transparente et efficace, prête à éradiquer les maux qui entravent son essor.
Franck Olivier/Colombe média