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Conseil constitutionnel : trois nouveaux membres prêtent serment pour un mandat de neuf ans

Conseil constitutionnel : trois nouveaux membres prêtent serment pour un mandat de neuf ans

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Ce lundi matin, sous la solennité de la présidence du Capitaine Ibrahim TRAORE, Président de la Transition et Chef de l’État, le Conseil constitutionnel a accueilli avec distinction trois nouveaux membres. François-Xavier KONSEIBO, ancien conseiller des affaires économiques, et les magistrats Fatimata SANOU née TOURE et Bessolé René BAGORO ont officiellement prêté serment pour un mandat de neuf ans devant le Chef de l’État.

 

Dans une atmosphère empreinte de gravité et de solennité, chacun des nouveaux membres a prononcé la formule consacrée, engageant ainsi leur dévotion à l’accomplissement impartial de leurs fonctions et à la préservation de la Constitution. Le Président de la Transition, garant de l’indépendance du pouvoir judiciaire, a reconnu leur engagement en leur adressant ses félicitations et en les invitant à s’acquitter de leurs responsabilités avec intégrité et impartialité.

 

Le Président du Conseil constitutionnel, Me Barthélémy KERE, a souligné l’importance de cet acte, affirmant qu’il témoignait de la volonté commune de préserver l’ordre constitutionnel et de servir le droit. Il a également salué l’attachement du Chef de l’État au respect du principe de renouvellement périodique des membres du Conseil constitutionnel, garantissant ainsi la continuité du fonctionnement régulier de l’institution. En signe de reconnaissance pour leur service rendu à la Nation, des attestations ont été remises aux membres sortants du Conseil constitutionnel, soulignant ainsi leur contribution à la préservation de l’État de droit.

 

L’audience solennelle de prestation de serment s’est déroulée en présence du Président de l’Assemblée législative de Transition (ALT), Dr Ousmane BOUGOUMA, marquant ainsi l’importance de cet événement dans le paysage institutionnel burkinabè. Cette prestation de serment marque une étape cruciale dans le fonctionnement de l’État de droit au Burkina Faso, témoignant de l’engagement continu envers la préservation des principes démocratiques et constitutionnels.

 

Franck Olivier/Colombe média

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