Can 2023 : Plus de 1200 supporters Burkinabè prêts à enflammer Bouaké

Dans une déclaration, l’Union Nationale de Soutien aux Étalons a révélé lundi 08 Janvier 2024 que plus de 1200 supporters burkinabè se préparent à envahir Bouaké pour soutenir ardemment leur équipe nationale lors de la CAN 2023. Cette annonce a été faite lors d’une conférence de presse.

Prévu pour le 14 janvier prochain, le départ de cette marée humaine vers Bouaké sera orchestré avec un total de 20 cars de transport, chacun capable d’accueillir 60 passionnés du football. Un déploiement impressionnant qui témoigne de l’effervescence générale autour de cet événement majeur du football africain.

À quelques jours du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire, l’excitation monte d’un cran au Burkina Faso. Les Étalons, représentants fiers de la nation, feront leur entrée en lice le 16 janvier 2024, affrontant les Mourabitounes de la Mauritanie dans un match de groupe qui s’annonce palpitant.

L’Union Nationale de Soutien aux Étalons a souligné l’importance de cette mobilisation, affirmant que c’est un acte de foi envers l’équipe nationale et une démonstration tangible de l’unité nationale à travers le sport. Les supporters sont prêts à créer une atmosphère électrique dans les gradins, portant l’énergie et l’esprit sportif du Burkina Faso jusqu’au cœur du tournoi.

Au-delà de l’aspect sportif, cet exode massif vers Bouaké symbolise également un moment de rassemblement social et culturel. Les supporters burkinabè apportent avec eux l’âme vibrante de leur nation, prêts à partager leur passion pour le football et à célébrer l’unité africaine au sein de cette compétition emblématique.

La mobilisation de plus de 1200 supporters burkinabè pour la CAN 2023 à Bouaké promet non seulement une expérience footballistique inoubliable, mais également un chapitre mémorable dans l’histoire du soutien national. Le Burkina Faso se prépare à faire résonner son amour pour le football sur la scène africaine, démontrant que bien au-delà des frontières du stade, le sport peut être une force unificatrice et inspirante.

Franck Olivier/Colombe média